Le directeur général de l'hôpital, Christophe Arnould (au centre), était présent sur le stand de prévention en fin de matinée.
Alors qu’il est le deuxième cancer le plus meurtrier, le cancer colorectal est loin d’être le plus connu des Français. Et des Corses en particulier. En effet, le taux de dépistage sur l’île est inférieur à 15 %, contre plus de 30 % sur le continent. C’est justement pour lutter contre ce déficit de représentation que le centre hospitalier de Bastia organisait, ce mercredi 29 mars, une journée de prévention. L’objectif : sensibiliser le personnel et les usagers à un vrai fléau, responsable de 17 000 décès chaque année.
« C’est pourtant très simple, et le test se fait à la maison », insiste Caroline Giacometti, responsable de la communication. « Toutes les personnes, entre 50 et 74 ans, reçoivent une invitation à se dépister, et peuvent ensuite retirer leur kit. C’est pris en charge à 100 % par l’assurance maladie ! » Facile, rapide, et réalisable en toute intimité, ce test consiste en un prélèvement sur les selles, qui doit ensuite être envoyé au laboratoire par voie postale. En cas de détection de sang dans l’analyse, une coloscopie est prescrite, pour affiner le diagnostic.
« On voit des patients arriver un peu tardivement pour leur prise en charge, alors qu’ils auraient pu être soignés beaucoup plus facilement avec un dépistage précoce », déplore Christophe Arnould, directeur général du centre hospitalier de Bastia. « Détecté tôt, ce cancer se guérit dans 9 cas sur 10. C’est pour cela qu’il faut continuer à parler de Mars Bleu, notamment dans les médias. Les chiffres qui concernent la Corse sont extrêmement bas, alors que la prise en charge est bien maîtrisée. »
« C’est pourtant très simple, et le test se fait à la maison », insiste Caroline Giacometti, responsable de la communication. « Toutes les personnes, entre 50 et 74 ans, reçoivent une invitation à se dépister, et peuvent ensuite retirer leur kit. C’est pris en charge à 100 % par l’assurance maladie ! » Facile, rapide, et réalisable en toute intimité, ce test consiste en un prélèvement sur les selles, qui doit ensuite être envoyé au laboratoire par voie postale. En cas de détection de sang dans l’analyse, une coloscopie est prescrite, pour affiner le diagnostic.
« On voit des patients arriver un peu tardivement pour leur prise en charge, alors qu’ils auraient pu être soignés beaucoup plus facilement avec un dépistage précoce », déplore Christophe Arnould, directeur général du centre hospitalier de Bastia. « Détecté tôt, ce cancer se guérit dans 9 cas sur 10. C’est pour cela qu’il faut continuer à parler de Mars Bleu, notamment dans les médias. Les chiffres qui concernent la Corse sont extrêmement bas, alors que la prise en charge est bien maîtrisée. »
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